Geai des Chênes

(Garrulus Glandarius)


 

Et voici un des plus beaux oiseaux de La Forêt, fréquemment observé. Il y en a même une allée qui porte son nom.

D’après Natagora,  le Geai des chênes est observé dans 23% des jardins.

 

"Sous son bec, il possède une petite poche dans laquelle il peut aisément stocker les graines qu'il récolte. La capacité de cette poche est de trois à quatre glands qu'il peut ainsi transporter avant de les cacher, car tout au long de l'automne, il se constitue des réserves, qu'il dissimule sous des racines, des mousses, à l'intérieur de souches d'arbre ou même sous le tapis de feuilles. Pour retrouver ses réserves, il a la capacité de mémoriser des points de repères qu'il observe soigneusement. Lorsque les points de repères ne sont pas suffisants, il va jusqu'à placer à côté de sa cachette des petits cailloux qu'il utilisera comme autant de balises. Cependant si ses points de repères sont déplacés ou disparaissent, le Geai des chênes devient incapable de retrouver la cachette de ses réserves.

Ainsi le Geai des chênes est le meilleur propagateur des chênes et des hêtres. Il a été estimé que chaque Geai des chênes disperse plus d'un millier de glands chaque année. Il en mange une partie et en oublie une autre qui pourra germer et croître." (Wikiedia)

 

Saviez-vous que le Geai des chênes est un bon imitateur ? Il a "la capacité de reproduire des chants ou des cris d'autres oiseaux et même de mammifères comme le chat ou le cheval. À la fin de l'hiver et au début du printemps, il émet une multitude de sons inspirés de ceux qu'il a entendus dans la forêt ou à sa lisière." (Wikipedia)

 

Et voici un extrait d'un livre datant de 1830 : " Dictionnaire Des Substances Alimentaires Et de Leurs Proprietes, Volume 1"  par Alexis Fran Aulagnier. Attention : 1. n'essayez pas ceci à la maison ! – 2. statut du Geai des chênes en Région Wallonne : strictement protégé !

 

 

 



Des jeunes Geais.

Photos : GDJ